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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 09:20

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La chaîne de supermarchés française Carrefour se trouve devant les tribunaux à Beijing accusée d'avoir exploité une vendeuse d'un de ses fournisseurs.

Sheng Yucang, une vendeuse âgée de 34 ans originaire de la Province du Shandong, a assigné Carrefour devant le Tribunal Populaire du district de Fengtai à Beijing, demandant le paiement d'indemnités de sécurité sociale et d'heures supplémentaires.

« Je ne le fais pas pour moi-même, je le fais pour toutes les vendeuses exploitées par ces supermarchés étrangers », a-t-elle déclaré de retour dans sa ville natale du Shandong, après avoir demandé le 29 décembre à son avocat de déposer sa plainte en son nom devant le tribunal.

Mme Sheng avait été embauchée début 2008 par Walch, une marque de produits de droguerie d'usage quotidien, pour faire la promotion de ces produits dans un supermarché Carrefour de l'arrondissement de Fengtai, mais en fait, une grande partie de son temps avait été passée à décharger des marchandises et à faire du nettoyage pour Carrefour.

Son salaire était de 1 600 yuans (235 dollars US) par mois.

Mme Sheng a déclaré ne pas avoir signé de contrat, que ce soit avec Walch ou Carrefour, avant décembre dernier.

Elle a été licenciée au mois d'avril dernier, alors qu'elle était enceinte de six mois.

« J'ai entendu un responsable de Carrefour dire à une directrice de Walch que du fait de ma grossesse, je ne convenais pas pour travailler là », a-t-elle dit.

« La directrice m'a ensuite sermonée et m'a demandé de partir. Elle a dit 'si vous voulez rester, il vous faudra avorter' », a déclaré Mme Sheng.


Elle a précisé que le service vendant les produits de droguerie comptait environ 60 employées mais que seuls trois ou quatre avaient signé un contrat avec Carrefour, le reste étant vendeuses de différentes marques.

« Nous faisons ce que les employées de Carrefour font, c'est à dire charger et décharger des marchandises, et nettoyer. Vous savez, c'est un travail physiquement très difficile, mais vous devez vous y faire, sinon vous perdez votre emploi », dit-elle.

Des avocats estiment qu'en Chine, il y a actuellement plus d'un million de vendeuses connaissant le même sort que Mme Sheng.

Le cabinet d'avocats Zhicheng de Beijing, un centre de recherche et d'assistance légale destiné aux travailleurs migrants et financé par le gouvernement a pris son affaire en main, ce qui lui a permis de découvrir que ce qui est arrivé à Mme Sheng, loin d'être un cas isolé, est révélateur des « règles cachées » de l'industrie des supermarchés.

« Nombre de supermarchés ne signent aucun contrat avec ces vendeuses, sans parler du paiement des assurances sociales ou des heures supplémentaires. Ils se déchargent tout simplement de leur responsabilité sur leurs fournisseurs comme Walch, mais exploitent ces vendeuses comme des bêtes de somme », dit Tong Lihua, patron de cette société, précisant au passage que cette façon de faire est une relation de travail déguisée introduite depuis l'étranger.

Des cas similaires sont arrivés dans des enseignes locales comme Wu Mart and Merry Mart.

Mais une relation de travail existe en fait entre les supermarchés et ces vendeuses, dit-il.

Prenez Mme Sheng par exemple.
 Premièrement, elle faisait la promotion de produits Carrefour, puisque les fournisseurs avaient vendu leurs produits à Carrefour.
 Deuxièmement, les tâches effectuées par Mme Sheng lui étaient directement assignées par les responsables de Carrefour.
Troisièmement enfin, elle portait un uniforme Carrefour durant ses heures de travail.

Cependant, les demandes de Mme Sheng ont été rejetées par le Comité d'arbitrage du travail de Beijing, n'ayant pas été en mesure de fournir des preuves écrites d'une relation de travail existant entre elle et Carrefour.

Ce qui fait dire à Dong Baohua, professeur de droit à l'Université de politique et de droit de la Chine de l'Est, qu'il reste encore une petite chance pour Mme Sheng de remporter son procès.

« La relation de travail déguisée est encore un terme académique », dit-il.

« Et considérant que Mme Sheng avait une relation de travail claire avec Walch, qui l'a embauchée, payée et licenciée, c'est à peine si l'on peut dire qu'il existe une règle de droit qui engloberait Carrefour ».

« Je n'ai pas le moins du monde levé le pied après être tombée enceinte », dit Mme Sheng, qui depuis qu'elle a perdu son travail s'occupe de son bébé âgé de quatre mois dans son village du Shandong.

Elle n'osait pas se reposer, bien qu'étant enceinte, sachant que le surveillant de Carrefour la contrôlait et pouvait à tout moment demander à Walch de la licencier.

Mme Sheng a déclaré qu'il lui arrivait souvent de rester debout et de travailler de 15h à 4-5h du matin quand elle était en service de nuit.

Son mari est actuellement chauffeur de taxi à Beijing et gagne environ 2 000 yuans par mois.

Avoir cet enfant était une décision difficile, dit-elle, car ils savaient tous les deux combien éléver un enfant à Beijing est onéreux, mais jamais elle n'aurait pensé qu'elle puisse perdre son travail pour cette raison.

16 autres vendeuses embauchées par Beijing "Prince Milk" pour assurer la promotion de ce produit dans les supermarchés Wu Mart, Merry Mart and Ikelong, qui ont connu des déboires similaires à ceux de Mme Sheng, ont également soumis leur cas aux autorités d'arbitrage du travail.

Source: le Quotidien du Peuple en ligne

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25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 11:17

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Le 15 décembre, Carrefour Chine a inauguré un nouvel hypermarché : Le magasin de Yu Hong Plaza. Situé dans la région de Liao Ning, le magasin de Yu Hong Plaza s’étend sur une surface de 6 686 m². Il dispose de 37 caisses et d'un parking de 108 places.


Le 18 décembre, Carrefour Chine a inauguré un nouvel hypermarché : Le magasin de Yancheng Hexiang. Situé dans la région de Jiang Su, le magasin de Yancheng Hexiang s’étend sur une surface de 8 412 m². Il dispose de 34 caisses et d'un parking de 150 places.


A titre de comparaison, Carrefour compte 230 hypers en France (affiliés compris). La Chine talonne désormais l’Espagne (169) et le Brésil (169) en nombre d’hypermarchés Carrefour.

Le rythme de progression du Français en Chine est impressionnant. Carrefour y a inauguré son premier hyper en 1995 (1989 pour Taïwan).


 Il aura donc fallu moins de quinze ans à Carrefour pour y ouvrir 150 hypers, ce qui veut dire une ouverture de magasin tous les...36 jours.

Il serait très intéressant de connaître la  véritable nature des relations entre Carrefour et les autorités Chinoise qui permettent à l’enseigne d’ouvrir quasiment un magasin par mois depuis maintenant 15 ans…

 

Est-ce que par hasard, il n’y aurait pas de relation entre les achats du groupe Carrefour en Chine et l’autorisation quasi mensuelle d’ouverture des magasins sur le territoire chinois …?

 

Est-ce que ce n’est pas toujours par hasard que Carrefour en inondant les rayons de ses  hypermarchés et supermarchés (qu’ils se situent  France ou dans le reste du monde) de produit « made in China » que Carrefour trouve des « petits arrangements » avec les autorités chinoises compétentes ?

 

 

Donc est ce que quelle que part  par relation, ce n’est pas le consommateur français qui finance l’expansion de Carrefour en Chine,
 qui à dirigé ses achats dans le « tout made in China »…
   



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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 09:23

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Aveyron
Vente d'agneau en supermarché : les éleveurs dénoncent une "tromperie"




 Une vingtaine d'éleveur d'agneaux de l'Aveyron se sont mobilisés cet après-midi, manifestant dans deux surfaces de Rodez. Objectif : dénoncer "la vente d'agneau néo-zélandais dans les rayon frais" de ces enseignes.
« Nous voulons dénoncer avant la période des fêtes cet agneau en provenance de Nouvelle-Zélande qui est vendu en rayon frais des grandes surfaces alors qu'il a été abattu voilà trois ou six mois »,
a indiqué Christian Roqueirol, porte-parole de la Confédération paysanne de l'Aveyron.

« Nous avons la certitude que cette viande a été ionisée pour être préservée alors que c'est interdit en Europe »,
 a-t-il ajouté.
 
« Comment une viande qui a passé plus de temps morte que vivante peut-elle être vendue au rayon frais, c'est de la tromperie »,
s'est-il exclamé, dénonçant des prix de vente
« trois fois inférieurs à l'agneau label rouge de l'Aveyron vendu à 18 euros le kilo ».

Les 20 éleveurs ont indiqué s'être rendus dans un hypermarché Leclerc de Rodez dans lequel ils ont « prélevé dans les frigos du magasin de l'agneau conditionné en Nouvelle-Zélande ainsi que la même viande remballée et installée au rayon frais du magasin ». M. Roqueirol a également indiqué que les éleveurs s'étaient rendus dans l'hypermarché Géant Casino de la ville mais que
« les rayons avaient été vidés auparavant ».


Le porte-parole de la Confédération paysanne de l'Aveyron, premier département moutonnier de France, a indiqué s'être "mis d'accord" avec la Direction départementale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes de l'Aveyron (DDCCRF) afin que des prélèvements et des analyses officielles soient effectuées pour vérifier si la viande a été ou non ionisée. 




Source: Midi libre

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 09:14

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L’hypermarché Auchan de Mantes-Buchelay fermera ses portes à minuit aujourd’hui. Les clients sont partagés sur cette opération qui avait tourné à la folie l’an passé.
 
 La journée sera longue pour les employés de l’hypermarché Auchan de Buchelay, près de Mantes-la-Jolie. Pour la troisième année d’affilée ce magasin ouvre ses portes ce soir jusqu’à minuit, au lieu de 22 heures habituellement, à l’occasion des fêtes de Noël.
 C’est l’une des rares grandes surfaces en France à accueillir le public aussi tard.

Les autres hypers du département, comme Auchan-Vélizy ou
Carrefour Chambourcy, n’ont pas encore cédé à ce type d’opération, pourtant rentable et autorisée par la préfecture.
Ce soir, les promotions promettent d’être intéressantes : - 50 % sur les jouets, les vins, le champagne, - 20 % sur les DVD… Le carburant sera vendu à prix coûtant.

 « L’an dernier, c’était de la folie. Les acheteurs sont venus nombreux », reconnaît un employé du magasin qui cite un chiffre d’affaires de 1,5 million d’euros pour le seul 23 décembre 2008. « Ce sont des opérations qui ont donné des résultats satisfaisants par le passé, confirme le service communication de la chaîne. Chaque magasin mène sa politique commerciale librement. A Buchelay, les responsables ont pensé aux clients, et ils sont nombreux, qui habitent loin du magasin. Pouvoir faire ses courses de Noël en soirée représente, pour eux, un vrai confort. »
Mais les représentants du personnel observent d’un oeil morne ces soirées.
 Officiellement, les salariés viennent travailler sur la base du volontariat.

 « Mais dans les faits, les responsables savent convaincre les plus réticents, note Luigi Capuano, délégué CFTC. Notre syndicat a toujours été contre, au nom de la protection de la vie familiale. Les employés n’y gagnent pas grand-chose :
 la majoration appliquée ce soir leur permet de gagner 5,60 € supplémentaires ! »

Et les salariés ne sont pas enthousiastes. « Pour moi, c’est non. Je refuse de travailler aussi tard », assure Marie*, une employée qui reconnaît cependant qu’aucun de ses supérieurs n’a insisté pour qu’elle travaille ce soir. « Moi, je suis contre, mais je n’ai pas le choix. Je m’occupe du ménage et nous devons être présents, enchaîne Arthur. Je préférerais passer la soirée en famille avec les enfants. »
Du côté des clients, ceux qui n’ont pas encore tenté l’expérience des courses de Noël hésitent à venir ce soir. Ceux qui l’ont déjà vécue s’en souviennent encore : « Nous sommes venues il y a deux ans, c’était de la folie pure », sourient Agnès et Frédérique. « A chaque vente flash, il y avait un attroupement énorme. Certains clients s’écharpaient pour une boîte de chocolat. Et quand l’alcool a été bradé, c’était l’émeute, de vrais sauvages », enchaîne Frédérique. « Je ne reviendrai plus. Je n’ai pas envie de me faire arracher un bras pour une réduction de 2 € », abonde Agnès.



Source: Le Parisien
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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 14:41

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Quatre-vingts employés environ ont constitué une barrière humaine empêchant, pendant trois heures, l'entrée des clientsà la plus grande surface de l'agglomération briochine.

Hier matin, 90 % du personnel du Carrefour de Langueux, près de Saint-Brieuc, se sont mis en grève.Motifs : la réduction des effectifs et les méthodes de management.

10 h 30. Soudés en une longue chaîne humaine, une centaine de salariés de l'hypermarché Carrefour de Langueux, près de Saint-Brieuc, bloquent les deux entrées du magasin. Les drapeaux CFDT et CGT sont de sortie. La mobilisation est forte, près de neuf employés sur dix. Les visages sont fatigués.

Effectif en baisse

« C'est fermé, madame ! On est en grève. Vous n'avez qu'à aller faire vos courses ailleurs ! »

Derrière son chariot bleuté, cette cliente de la grande surface semble dépitée. Elle comprend bien que les salariés soient mécontents de leurs conditions de travail, mais elle estime que le moment est mal choisi.
À quatre jours du réveillon de Noël, la fréquentation de ce temple de la grande distribution est son apogée.

Hier matin, les consommateurs ont dû rebrousser chemin. Car le mouvement de grève, qui a débuté samedi, s'est durci. Les délégués syndicaux devaient rencontrer Christian Schwegler, le directeur régional, « mais il nous a fait savoir qu'il ne discuterait que si on retournait au boulot. On a refusé »,explique Cyril Toulot, représentant syndical CFDT. Les employés ont campé sur leurs positions. Car le sentiment de ras-le-bol est vif. Quatorze salariés en moins entre 2008 et 2009 pour une charge de travail identique.



« Moi, rapporte ce magasinier, je mets en rayon les produits alimentaires dès 5 h du matin. Je gagne 1 000 € par mois. S'il y a un malade dans l'équipe, j'assure pour deux. Mais la pression de l'encadrement est devenue insupportable. »

La gestion des ressources humaines est mise en cause. Une enquête, réalisée en début d'année, par le comité d'hygiène et de sécurité (CHSCT) révélait une réelle souffrance au travail. « Le taux d'absentéisme frôle les 10 % »,disent les syndicats.

Chiffre contesté par la direction, qui rappelle que les salariés ont touché d'une prime d'intéressement de 370 € et que la baisse d'effectifs n'est pas due à des licenciements, mais à un « turnover naturel ».La nouvelle organisation du travail serait « imposée par un contexte économique et concurrentiel difficile ».

En début d'après-midi, le blocage a été levé car une discussion a pu avoir lieu. Des cinq heures de tractation, sont sorties des propositions : embauche de personnel supplémentaire jusqu'à la période des soldes, constitution de groupes de travail pour améliorer la communication interne, concertation sur les plannings... Une liste de six points que direction et syndicats doivent valider.


Pour Info:  Carrefour Langueux : 9 657 m2. 222 salariés à temps complet. Près de 1,8 million de clients par an...
 
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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 17:52

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Une centaine d'agriculteurs des Pyrénées-Orientales (P-O) ont bloqué samedi matin deux grandes surfaces de Perpignan pour "dénoncer les marges excessives", frappant volontairement les magasins à la période de Noël, a constaté un journaliste de l'AFP.

Cette opération, baptisée "brosse à dents", a consisté pour les maraîchers, viticulteurs et arboriculteurs à "utiliser tous les caddies de deux magasins des enseignes Intermarché et Leader Price en n'achetant qu'un produit à très bas coût, pour empêcher les autres clients de faire leurs achats", a expliqué un responsable de la FNSEA des Pyrénées-Orientales, Gérard Majoral.


"Il s'agit de faire perdre de l'argent aux magasins, comme nous, nous en perdons un peu tous les jours (...), avec des prix de vente au-dessous du prix de production", a-t-il noté en précisant que les prix actuels du marché de la salade ont été le facteur déclenchant du mouvement.

L'Intermarché a refusé d'ouvrir ses portes et la manifestation a eu lieu pendant une heure avec les caddies devant le magasin. Les agriculteurs ont "obtenu du directeur une rencontre avec des responsables nationaux", a précisé M. Majoral.


Les agriculteurs de la région, a-t-il rappelé, avaient prévenu l'été dernier les grandes surfaces qu'ils "reviendraient les voir à la période où pour eux ça marche", à Noël.

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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 15:37

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Pour l’année 2010, Carrefour à pour objectif de faire 55 Millions d’€uros d’économie sur les frais de personnel, dans les 230 hypermarchés Carrefour en France…

A priori, c’est l’encadrement, plus précisément le poste de chef de rayon qui sera le plus touché.

Il est à noter  qu’en 2008/2009 Carrefour France à baisser ses effectifs de 3200 salariés en France entre juin 2008 et juin 2009  et plus de 8000 en Europe.

 

http://anti.grande.surfaces.over-blog.com/article-carrefour-france-a-supprime-3-200-emplois-en-un-an-37566242.html

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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 09:43

 




Bonjour,

J'ai démarré l'aventure LIDL le 28/09/09 au magasin d'Aire sur Adour (40), en tant que chef magasin en formation, j'ai connu ce que vous avez vécu.

 J'ai donc été basculé sur ce magasin à 180 km de
chez moi, logé à l'hôtel par Lidl à 100 mètres du mag.
 La première semaine tout était parfait et puis au fur et a mesure les mauvaises choses sont arrivées, par exemple le fait de finir le samedi soir à 21h pour reprendre le lundi à 6h30, sachant que je n'ai pas de véhicule, donc impossibilité pour moi de rentrer les week-ends, j ai deux enfants à charge et je suis seule.

 Au début je n'ai rien dit et puis au fur et a mesure des mauvaises blagues j'ai commencé à l'ouvrir et la mes vrais problèmes ont démarré: le chef magasin à commencé à m'accuser de toutes les erreurs du mag or j'étais en formation donc la pour apprendre !
 Ensuite ce sont les chefs caisses qui se sont ralliés forcé et contraintes au chef mag, quand je faisais les rotations du frais elles repassaient derrière moi pour les défaire et ensuite le chef mag arrivait en hurlant que les rotations n'étaient pas faites!!
 
 Et au final 2 mois et demi après mon intégration l'adjoint des ventes et ma chef
réseaux sont venu au mag ils se sont enfermé pendant 2 h en salle de pose et le lendemain matin j'apprenais que ma période d'essai était terminé car ils n'avaient pas confiance en moi et que je ne faisais pas bien mon travail, je me suis fait traiter de voleuse et de menteuse par le chef mag et l'adjoint des ventes.
 Je suis donc montée au créneau et je viens de déposer un référé aux prud'hommes qui vient d'être accepter, il est temps que leur pratique et politique de travail change! Un mot d'ordre chez LIDL, il faut se laisser faire, si vous commencez à vous rebellez c'est
l'engrenage et le harcèlement!
 Il faut faire bouger les choses !!!

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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 09:31

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Le 1er février 2008, le directeur (licencié depuis les faits) du centre Leclerc d'Andrézieux-Bouthéon a-t-il délibérément fait appel à des intérimaires pour faire obstacle à la grève ou a-t-il agi, comme il s'en est défendu, pour suppléer à la désaffection d'étudiants pour procéder à l'inventaire de son magasin ?

Durant l'audience correctionnelle du 19 novembre, les deux versions se sont affrontées. Hier, le tribunal a tranché en condamnant l'ex-directeur à une peine de 3000 euros d'amende. L'enseigne a été reconnue civilement responsable. Quant aux demandes des parties civiles (CFDT, FO et CFTC), qui avaient réclamé des dommages et intérêts, elles ont été jugées irrecevables.

Dans ce dossier, les conseillers des trois syndicats n'avaient pas hésité à traiter le directeur « de briseur de piquet de grève », tout en rappelant que le droit de grève était inscrit dans la constitution et qu'embaucher des intérimaires, un jour de cessation de travail, était interdit par la loi.

Les réquisitions du procureur de la République étaient de la même veine : « Certes la grève embête tout le monde, mais pour le démocrate, le droit de grève, acquis dans le sang, est une victoire et pour le représentant de la loi, on n'y touche pas.
 Ce jour-là, en recrutant des intérimaires en urgence, vous avez atteint à l'un des fondements de la démocratie et n'avez pensé qu'à votre compte d'exploitation ».

 Et de réclamer 3750 euros d'amende et publication et affichage de la condamnation.

À la barre, l'ancien directeur a affirmé de ne pas avoir voulu contrecarrer la grève nationale annoncée depuis plusieurs semaines : « Ce même jour, nous avions l'inventaire du magasin : sur 47 étudiants prévus pour cette opération, il en manquait quatorze. Dans la précipitation et de peur d'être en retard, j'ai demandé le matin même à ma secrétaire de recruter 10 intérimaires ». Une version qui n'a pas convaincu la présidente. «J'ai du mal à croire que vous ne vous êtes pas rendu compte du retard avant. Et pourquoi avez-vous sollicité de la part de votre secrétaire qu'elle appelle l'agence pour maquiller la date d'embauche des intérimaires ? ». Réponse du prévenu: « Le matin même, l'inspecteur du travail s'est rendu au magasin, je savais qu'il allait faire le rapprochement, je reconnais avoir fait une erreur et mal agi ».

Pour son avocat, il n'y a pas la preuve de l'élément intentionnel « surtout que si la grève a perturbé l'activité, elle ne l'a pas arrêtée ».



Source: Le Progrès

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 21:05


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Alain Schmitz est «soulagé».
 Mercredi après-midi, le tribunal correctionnel de Melun (Seine-et-
) a reconnu Boissénart à Cesson, son ancien employeur, coupable de travail dissimulé. L'ex-directeur du magasin Patrick Pytel, a été condamné à 3 000 euros d’amende avec sursis et devra rembourser 1 200 euros à son ancien salarié pour les frais de procédure.

 

Conseiller en vente au rayon vin de l’hypermarché de 2002 à 2005, Alain Schmitz reprochait à l’enseigne de l’avoir embauché illégalement et de l’avoir rémunéré via de fausses factures créditées chez les fournisseurs.
De mauvaises pratiques apparemment courantes dans la grande distribution, selon les enquêtes de la police judiciaire de Melun, la direction de répression des fraudes et l’inspection du travail.
 L’ancien sommelier s’est ainsi retrouvé à facturer ses prestations de conseil en vin auprès de fournisseurs de biscuits ou de jus d’orange. «Si (ces derniers) refusaient, ils prenaient le risque de ne plus être référencés chez Auchan», confie Alain Schmitz.




Source: Le Parisien

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