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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 09:00

 

Le groupe Auchan a été condamné lundi à 12.500 euros d'amende par la cour d'Appel de Tours pour avoir vendu à perte des jouets dans trois magasins en Indre-et-Loire. Les gérants des trois supermarchés de Tours, Saint-Cyr-sur-Loire et Chambray-les-Tours ont aussi été condamnés à des peines d'amende de 2.500 euros avec sursis.


Prix inférieur au prix d'achat

La justice a condamné les gérants pour avoir vendu à perte des jouet en décembre 2004, au moment des fêtes de fin d'année. Les trois supermarchés avaient décidé de pratiquer une remise de 20% sur leurs jouets.

La Direction départementale de la concurrence et de la répression des fraudes les avait alors épinglés en constatant que la majorité des jouets exposés dans les rayons étaient vendus à un prix inférieur à leur prix d'achat, une pratique délictueuse. 

En première instance, le tribunal correctionnel avait relaxé Auchan ainsi que les trois gérants en 2011. Le parquet avait fait appel de ce jugement.

 

 

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 10:55

 La Cour de cassation a donné raison mercredi à 258 salariés d'Auchan qui réclamaient le respect du Smic par l'enseigne de la grande distribution. Plus de 800 salariés d'Auchan avaient attaqué devant le conseil de prud'hommes de Lannoy (Nord) leur employeur à qui ils reprochaient d'avoir violé les conventions collectives en intégrant le temps de pause dans le calcul de leur rémunération. 

Ils avaient été déboutés.

Mais rebondissement mercredi. La chambre sociale de la Cour de cassation a estimé que les prud'hommes avaient violé la loi et a renvoyé les dossiers devant les prud'hommes de Lille (Nord). «Dès lors qu'il n'est pas contesté que pendant les pauses, les salariés n'étaient pas à disposition de l'employeur, de sorte que celles-ci ne constituaient pas du temps de travail effectif, les primes les rémunérant, qui ne sont pas la contrepartie du travail, sont exclues du salaire devant être comparé au Smic», selon l'arrêt qu'a pu consulter l'AFP, reprenant les termes d'une précédente décision concernant l'enseigne Carrefour sur le même point.

850 autres dossiers étudiés début 2013

Selon Me Stéphane Ducrocq, conseil des salariés d'Auchan, la décision s'applique au-delà des seuls salariés payés au Smic. «Aucun salarié d'Auchan n'a eu le minimum prévu par la loi», entre 2000 et 2008, date à laquelle un accord incluant le paiement du temps de pause a été conclu, a déclaré l'avocat, affirmant que l'enseigne a ainsi économisé plusieurs millions d'euros. Selon lui, les 55 500 salariés qui n'avaient pas saisi les prud'hommes ont ainsi perdu 5% de leur salaire durant ces années.

Du côté des syndicats, c'est le soulagement. «C'est un grand jour, quel soulagement. On a gagné sur toute la ligne», s'est réjoui Guy Laplatine, délégué syndical central CFDT. Et Me Ducrocq de souligner qu'une «deuxième vague» de 850 dossiers doit passer en début d'année prochaine devant les prud'hommes de Lannoy.

source: Le Parisien.fr 

 

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 14:45

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Hier matin, la manifestation a été reconduite devant l’hypermarché Auchan. Globalement, la mobilisation contre le travail le dimanche reste intacte.

Hier matin, le parking d’Auchan était une nouvelle fois le théâtre d’une manifestation de lutte contre le travail le dimanche. Cette fois, une vingtaine de salariés étaient présents pour exprimer leur mécontentement vis-à-vis de la direction de Schiever, parmi un groupe de 80 manifestants selon les organisateurs.

La lutte semble difficile, mais ils ne comptent pas lâcher et reconduisent la manifestation tous les dimanches, appuyés en cela par de nombreux soutiens. Ainsi, hier, la CGT, la CFDT, FO et le PCF étaient représentées. Les élus de Gueugnon, Christian Bonnot, conseiller général, et Béatrice Pennel, déléguée syndicale de Géant Casino, se sont également déplacés pour soutenir les salariés d’Auchan.

Les clients, eux, ont réagi de manière diverse à ce mouvement. Certains ont soutenu les salariés en faisant demi-tour à l’entrée du magasin. Toujours selon les organisateurs, il y avait moins de clients à gros chariots que le dimanche précédent.

En coulisses, les discussions se poursuivent. La direction a envoyé aux salariés un accord signalant qu’elle s’engageait à offrir un jour et demi de repos la semaine suivant le dimanche travaillé. Elle demande également à convoquer individuellement les salariés afin de connaître leurs motivations à ne pas vouloir travailler le dimanche. Mais cet accord a été jugé inacceptable par Maxime Jacquet (représentant du personnel) et les salariés, qui l’ont donc refusé.

 

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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 11:28

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L’hypermarché Auchan devrait ouvrir les dimanches matin, courant février. Mais une partie des salariés ne l’entend pas de cette oreille.

L’ouverture de l’hypermarché Auchan le dimanche matin fait grincer des dents parmi les salariés. La décision, émanant du groupe Schiever dont dépend le magasin, est tombée la semaine passée et prendra effet à la mi-février.

Si le travail dominical fait, en lui-même, l’objet de nombreuses réticences, c’est surtout l’absence de compensation qui interroge. « Il n’est pas question de repos compensatoire, ni de rémunérations supplémentaires », indique Maxime Jacquet, représentant du personnel. Le principe est simple : une part des heures habituellement travaillées en semaine serait reportée au dimanche.

Si le groupe a déjà opéré à des ouvertures le dimanche sur ses magasins de Clamecy et de Tonnerre, une mobilisation se met tout de même en place, menace de grève à l’appui. « On s’interroge sur la légalité d’une telle ouverture, poursuit Maxime Jacquet, après un entretien à l’union locale CGT. On sait qu’il est possible pour la vente de produits alimentaires. Or, tout ce qui concerne les produits frais (boulangerie, boucherie, etc.), serait fermé ce jour-là ». De son côté, le directeur du magasin, Philippe Perrot, n’a pu être joint.

Concurrence au sein du même groupe

Aujourd’hui, deux enseignes gueugnonnaises ouvrent déjà leurs portes le dimanche matin : Intermarché et Maximarché, plus communément appelée la « Coop », place des Forges. L’ouverture d’un troisième magasin ce jour-là déboucherait sur une situation de concurrence plutôt étonnante : Auchan et Maximarché appartiennent en effet au même groupe, le groupe Schiever…

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10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 12:13

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Des salariés en grève hier matin à l'hypermarché de Petite-Forêt

 


Le mouvement de salariés grévistes a suscité une animation inhabituelle hier matin à l'hypermarché de Petite-Forêt.


La scène était inhabituelle hier matin au magasin Auchan de Petite-Forêt. Plusieurs dizaines de salariés formaient un piquet de grève devant l'alignement des caisses, défilant derrière les drapeaux de leurs organisations syndicales.


Un tract à en-tête de la CGT, de Force Ouvrière et de la CFTC indiquait les revendications de ce mouvement propre à l'hypermarché de Petite-Forêt : une augmentation de salaire de 2,5 %, de meilleures conditions de travail et une prime de Noël de 200 E.


Selon Jean-Paul Delescaut, secrétaire de l'union locale CGT, la direction avait fait signer un avenant au contrat de travail de membres de l'encadrement, pour qu'ils puissent prendre la place aux caisses des salariés grévistes. Une affirmation démentie par le directeur du magasin : « Nous avons de l'encadrement un peu formé qui a pris le relais aux caisses, précisait Philippe Grevendal. Mais je ne vois pas où il est stipulé qu'un chef de rayon ne puisse prendre une caisse.

Les membres de l'encadrement sont habilités à le faire. » Sur les revendications, le directeur renvoyait à la politique salariale du groupe.

Pour « soutenir le pouvoir d'achat » de ses collaborateurs, celui-ci leur accorde une ristourne de 10 % en magasin et à l'occasion du cinquantenaire du groupe, la journée du 6 juillet dernier a été payée triple, « avec la possibilité, si les salariés plaçaient la prime sur leur compte Valauchan, d'un abondement représentant trois fois la somme ».

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 13:31

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Pour les salariés d'Auchan Louvroil, les conditions de travail priment, la prime aussi

 


À l'appel des syndicats CGT, CFDT et FO, une centaine de salariés de l'hypermarché Auchan de Louvroil ont observé un peu plus d'une heure de débrayage hier matin pour protester contre leurs conditions de travail et revendiquer une revalorisation salariale, retardant d'autant l'ouverture du magasin. ...


Les représentants syndicaux ne cachaient pas leur satisfaction : une centaine de salariés sur les deux cent cinquante postes du matin - la grande surface emploie cinq cents personnes au total - ont embrayé au débrayage et la participation de la totalité des agents de sécurité était brandie comme un trophée.

 

C'est du reste l'adhésion au mouvement de ces derniers qui a empêché l'ouverture des portes à 8 h 30, au regard des règles de sécurité concernant les risques d'incendie. De ce fait, un groupe compact de clients s'est formé dans le calme devant l'entrée principale, dans la galerie marchande, avant de se résorber à l'ouverture, vers 9 h 30.

« Salaires de misère, primes trimestrielles à zéro, conditions de travail déplorables, dialogue social déficient » : le tract distribué n'y va pas par quatre chemins. Les représentants syndicaux ont développé ces têtes de chapitre, en mettant un soin particulier à dénoncer un management « roi de la communication », sur les niveaux de salaires. « Les critères de productivité sont en hausse, les chiffres d'affaires demandés ne sont pas en rapport avec les réalités économiques locales. La sécurité et l'hygiène, pour les salariés et les clients, c'est quand ils veulent. Quand une commission de sécurité passe, on pourrait manger par terre. Mais le reste du temps, les réserves sont encombrées.

 

Auchan parle de seize mois de salaires, mais ça inclut les primes tous les trois mois et la participation, qu'on n'a qu'au bout de cinq ans d'ancienneté. Dans la réalité, les salaires sont au ras des pâquerettes. Il y a un turn-over très faible ici.

On a des employés avec vingt ans de boutique qui sont à 1 200 euros. »


Les représentants syndicaux, qui réclament une prime de 200 E à l'approche de Noël, n'excluent pas d'autres actions d'ici les fêtes.

 

Et le mouvement pourrait gagner d'autres magasins de l'enseigne. 

Nous avons tenté, en vain, de joindre la direction.

 

source: La Voix du Nord

 

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 07:31

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Les salariés d'Auchan ont-ils perdu de l'argent avec le passage aux 35 heures en 1999 ? La CFDT et la CGT n'en démordent pas, c'est oui.

La direction groupe nordiste s'en défend et l'affaire, complexe, dure depuis bientôt sept ans. Aboutira-t-elle le 23 novembre ?

 

À cette date, le tribunal de grande instance (TGI) de Lille rendra sa décision sur la base des plaidoiries d'avocats d'hier après-midi. Face à face, hier, les mêmes protagonistes que le 4 novembre 2010, c'était devant la justice prud'homale. Il y a un an, 885 salariés avaient poursuivi Auchan avant d'être tous déboutés par le juge du travail à Lannoy. « Déboutés et dégoûtés ! », s'était indigné Guy Laplatine, délégué central pour la CFDT à Auchan France, fustigeant « une justice des riches » contre « une justice des pauvres ».

Hier, les syndicats ont réarmé : « Depuis 1999, il faut pointer 36 h 45 pour être payé 35 heures. C'est inadmissible pour une entreprise qui prétend faire du social. Le temps de pause n'est pas payé, soit 5 % du temps de travail effectif, entre 30 et 50 E par mois, formant des sommes colossales dont les salariés sont spoliés depuis toutes ces années. »


La réponse de la direction d'Auchan ne varie pas non plus. « Les salariés ont perdu devant le juge du travail et le contentieux en paiement du salaire ne relève pas du TGI. Les demandes n'y sont donc pas recevables », assure Laurent Marquet de Vasselot, avocat d'Auchan.


Avec une riposte sur le fond : « Avant les 35 heures, la durée du temps de travail effectif était de 37 h et 8 mn et 5 % de temps de pause en plus, soit 1 h 52. Après les 35 heures, le temps de pause est passé à 1 h 48, soit toujours 5 % du temps de travail effectif (35 h). Le temps de pause a été payé ! »

« On ne lâchera rien, même s'il faut aller en cassation pour qu'Auchan revienne à la négociation et rende justice », tranche Guy Laplatine.

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 20:41

 

 

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Le tribunal de commerce de Lille a condamné l'enseigne nordiste à 1 million d'euros d'amende civile pour clauses abusives imposées à ses fournisseurs. Auchan fait partie des neuf enseignes qu'Hervé Novelli, ancien secrétaire d'Etat au commerce, avait assignées en octobre 2009. Castorama avait été le premier condamné.

 


Auchan a été mis à l'amende. Le tribunal de commerce de Lille a condamné l'enseigne du groupe Mulliez à une amende civile de 1 million d'euros pour clauses abusives envers ses fournisseurs. Les motifs du jugement n'étaient pas encore connus en début d'après-midi mercredi. Le distributeur nordiste indique vouloir prendre "le temps d'étudier le contenu de cette décision pour décider des suites à y donner".


Mais d'ores et déjà, par communiqué, l'enseigne persiste "à dire qu'il n'y a pas de déséquilibre significatif dans ses relations avec ses fournisseurs". L'Etat reprochait à Auchan un "déséquilibre significtif" pour fixation de pénalités lors d'une livraison défaillante et de la renégociation de tarifs en cours d'année.

Le tribunal n'a retenu que le deuxième grief, selon Auchan.


Le montant de l'amende est de moitié inférieur aux deux millions d'euros qu'exigeait la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Auchan fait partie des neuf enseignes que le secrétaire d'Etat au commerce, Hervé Novelli, avait assignées en octobre 2009. Carrefour, Darty, Leclerc, Casino, Système U, Cora, Intermarché et Castorama sont les autres enseignes assignées. Pour l'heure, outre Auchan, Castorama a été condamné à 300.000 euros d'amende. 

Annoncées sur TF1, en direct, lors du journal de 13 heures, ces assignations avaient fait grand bruit, quelques mois après la mise en vigueur de loi de modernisation de l'économie (LME). Darty avait alors combattu cette assignation en soulevant une question prioritaire de constitutionnalité. En vain.


Depuis, les relations entre la grande distribution et l'Etat sont restées à vif. La gestion de la flambée des matières premières et leur répercussion dans les prix de vente de produits de grande consommation ont notamment vastement relancé le débat sur les relations entre PME et grandes enseignes. Et, avec lui, avait émergé un débat sur une refonte de la LME qui, depuis début 2009, accorde aux

distributeurs davantage de liberté dans la négociation des tarifs des founisseurs.

 


Ce débat a été enterré par une grand' messe à Bercy. Fin 2010, la grande distribution alimentaire avait fait valoir sa bonne volonté à améliorer ses pratiques envers leurs fournisseurs. A l'exception de Leclerc qui avait décliné l'invitation, toutes étaient venues au Ministère des Finances signer, en grandes pompes, "des engagements" pour "assurer un meilleur équilibre des relations commerciales" avec leurs fournisseurs.

Le sujet revient actuellement sur le devant de la scène. Mi-juillet, Christian Estrosi, député-maire des Alpes-Maritimes, a déposé une proposition de loi visant à "limiter les marges des grandes surfaces à 20% pour chaque produit de première nécessité". Prés de 80 députés UMP la soutiennent.

 

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7 août 2011 7 07 /08 /août /2011 09:25

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La justice a interdit à Auchan d'ouvrir son magasin de Perpignan le dimanche, comme le géant nordiste de la distribution avait commencé à le faire cet été.


Les syndicats qui avaient saisi le juge des référés, et pour leurs avocats, se sont félicités de cette décision, y voyant une victoire du droit au repos dominical contre les atteintes de la grande distribution.


La direction de l'hypermarché Auchan de Perpignan a dit ce samedi son intention de faire appel du jugement rendu hier vendredi.

Celui-ci interdit à l'hypermarché Auchan de Perpignan d'ouvrir le dimanche sous peine d'astreinte de 100.000 euros par jour d'ouverture irrégulière.

 

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 16:17

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Une cinquantaine de salariés d'Auchan ont manifesté hier matin pendant une heure devant l'hypermarché pour réclamer la réouverture de négociations salariales, après un appel national à la grève de la CFDT.


« Ce chiffre n'est pas négligeable. Ils étaient environ 150 à être présents hier  », a estimé Guy Laplatine, délégué syndicat central CFDT, Au coeur de le contestation : les salaires. « Les grilles de salaires sont écrasées », dénonce Olivier Camus, délégué syndical CFDT.

 



« On demande bien plus que le Smic »

« Notre grille de salaires est supérieure à la grille professionnelle », répond François Cathalifaud, responsable de la communication d'Auchan.

L'augmentation du Smic de 2 % est normalement prévue demain. Mais elle suffit pas aux salariés. « Elle ne concerne que les salariés qui sont en dessous du seuil. Et les autres ? », réplique Guy Laplatine.

« On demande plus que le Smic »
, a déclaré Cédric Aucoin, délégué du personnel.


Les différends sur les salaires entre la direction et le personnel ne datent pas d'hier. Cette année, la direction avait pourtant ouvert des négociations salariales, au terme desquelles elle a proposé aux salariés une augmentation de 1.5 %. « Les salariés n'ont pas signé d'accord » , explique le responsable de la communication.

Les membres de la CFDT demandent bien plus : une augmentation de salaires de 4,5 % pour tous.

Actuellement, les salariés touchent un treizième mois, un intéressement et une participation annuelle de l'entreprise. « Le problème, c'est que la prime de participation n'est pas comptabilisée pour la retraite. Mais on paie des impôts dessus », ajoute Cédric Aucoin.

L'autre pomme de discorde, c'est le travail du 1er Mai. « Cette année, il est tombé un dimanche, et on ne l'a pas récupéré. Les autres années, on a pu le faire », précise Guy Laplatine. « Tout ce qu'on demande, c'est que le coût de la vie ne dépasse pas nos salaires », conclut le délégué.

Les salariés espèrent avoir des réponses de la direction après la réunion du comité central de l'entreprise qui s'est tenue hier et qui doit se poursuivre aujourd'hui.

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