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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 11:09

 

 

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L'ACCIDENT

 

 

"En mai 2002, la cellule de suivi des postulants nous convoque, comme d’habitude, à la réunion mensuelle des postulants sur un hôtel d’Aix en Provence.

 

Cette journée, animée par un manager professionnel d’équipe de rugby, est intitulée « un esprit d’équipe, un esprit d’entreprise ».
Après la réunion, nous sommes conviés à participer à un match de rugby improvisé entre postulants, en tenue de ville !

 


Comme mes collègues postulants, je ne suis pas vraiment emballé par cette « excellente idée » au dire des adhérents présents, mais, comme eux, je me vois très difficilement refuser ma participation au match.

  


En effet, pour nous voir attribuer un bon projet, nous devons nous conduire en Mousquetaire,
c’est-à-dire faire la preuve à tout moment de :
- notre disponibilité,
- notre adaptabilité,
- notre esprit d’équipe,
- notre obéissance absolue.

 


Résultat : fracture grave du tibia droit, évacuation par les pompiers, hospitalisation de quatre jours et séquelles à vie.

Après l’opération, je reste invalide six mois.

 

Pendant cette période, jamais au grand jamais, aucun responsable du groupement (malgré leur esprit d’équipe) n’effectuera la moindre démarche, ne serait-ce que téléphonique, pour prendre simplement de mes nouvelles ou s’inquiéter de savoir si nous pouvions faire face à la situation dans laquelle l’accident nous a plongés.
L’intégralité des charges et effets de cet accident resteront à nos frais.


Et si cela avait été plus grave ?

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 08:20

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Le tribunal correctionnel d'Évry a condamné Intermarché à 40 000 euros d'amende pour publicité trompeuse. Pour l'ensemble des huit infractions qui lui étaient imputées, le procureur avait réclamé à l'audience un total de 800 000 euros d'amende. Au total, une seule d'entre elles a finalement été retenue par les juges.


Du thon rouge censé avoir été pêché en Méditerranée qui avait, en fait, effectué un détour par des fermes d'aquaculture espagnoles, des chaises pliantes venues du Vietnam qui présentaient des risques de cisaillement ou de chute pour leurs utilisateurs ou encore des offres de foies gras diffusées par catalogue qui ne correspondaient pas à la réalité...

Le 13 octobre dernier, Intermarché comparaissait devant le tribunal correctionnel d'Évry (Essonne) pour huit dossiers de publicité mensongère ou tromperie sur la marchandise. L'enseigne était également poursuivie pour un dossier de coopération commerciale.

Le tribunal s'est accordé plusieurs mois pour délibérer. Il vient de rendre sa décision (seule l'affaire de coopération commerciale est encore en délibéré) en infligeant 40 000 euros d'amende à l'enseigne, auxquels s'ajoutent 4 000 euros de dommages-intérêts à verser à l'UFC-Que Choisir, partie civile. Une décision loin des réquisitions du procureur. Il avait réclamé près de 800 000 euros d'amende à l'encontre d'Intermarché pour l'ensemble des infractions retenues.

Comment s'explique un tel décalage ? Pour l'une des huit affaires objet de la décision, le tribunal d'Evry a prononcé une relaxe. Pour les six autres, il s'est déclaré incompétent, le siège d'Intermarché étant situé à Paris. Un point qui avait été régulièrement soulevé par les avocats de la défense venus en nombre à l'audience (près de 10 heures de débats) d'octobre dernier.

Au final, les juges n'ont donc pu sanctionner l'enseigne que pour un dossier de publicité trompeuse sur du foie gras, les faits ayant été constatés dans des magasins situés dans le ressort du tribunal d'Évry.

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 11:15



Hier après-midi, une douzaine de caissières de l’Intermarché de Chanteloup, à Aulnay, ont planté un piquet de grève devant leur magasin. Elles protestent contre « un manque de respect de la part des responsables » et dénoncent le « fait d’en faire toujours plus —comme le ménage ou l’accueil—pour un salaire égal », explique Martine, caissière depuis trente ans.

La direction se dit prête à engager des discussions dès la semaine prochaine. Les grévistes décideront alors de l’issue du mouvement.





Source: le Parisien

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 11:04


Tribunal. Le patron de l'intermarché de Rieupeyroux n'a pas l'impression d'avoir fauté. Pourtant le personnel quittait sans cesse l'entreprise et cinq employés le poursuivent pour «harcèlement moral».


Derrière la barre, Pascal Olczac est droit comme un I. Bien habillé et les chaussures bien cirées, il récite son credo de patron de supermarché: «il y a ceux qui suivent et ceux qui ne suivent pas», «le savoir ne se conserve pas, il se transmet», «il y a des gens qui sont d'accord», «certains s'adaptent et d'autres pas». Pascal Olczac a aussi deux avocats; un pour le pénal, et l'autre pour les prud'hommes. Il faut dire que depuis qu'il est propriétaire du magasin, les procédures tombent drues.

L'homme a 49 ans, il a acheté l'affaire de Rieupeyroux en 2005, et assez vite les choses se sont dégradées. En seize mois, 32 personnes embauchées sont vite sorties de la boite, souvent licenciées après des procédures disciplinaires. Bref, la bonne ambiance. Tandis que ce patron énergique de 49 ans débite son credo au président du tribunal, quatre femmes s'agitent dans la salle.
 Un peu plus tard deux d'entre-elles fondent en larmes. «J'étais souvent humiliée et rabaissée devant les clients. Il me traitait d'incapable, de bonne à rien. Le personnel baissait la tête, il était résigné, il avait peur».

Christelle est l'une de celle qui a trinqué. Fine, grande, élégante, elle a constaté «un changement de comportement dès que le CDD est devenu CDI». Et elle n'est pas la seule. Pour Isabelle, «le plus terrible a été le dernier mois, avant mon licenciement. Je prenais sur moi pour tenir, j'ai perdu 13 kilo, j'étais sous anti-dépresseur». Une fois l'entreprise quittée, grosse décompensation et séjour à l'hôpital pour amortir l'atterrissage. La liste s'allonge; une autre: «il me disait: vous avez une cervelle sous vos cheveux blonds ? Je voyais des filles en larmes à l'accueil, on marchait aux cachets, on ne prenait pas les pauses...».

L'enquête établira trois tentatives de suicide (dont un jeune comptable a qui on faisait passer la serpillière) et une floraison d'arrêts de travail, un système de sanctions et des propos humiliants. Mais le droit est clair, le harcèlement doit être prouvé pour entrer en condamnation. «Les effets provoqués par ces conditions de travail suffisent à l'établir» estime le procureur Camous. «Une entreprise ça n'est pas que des chiffres, les salariés ne se sentaient pas bien, ils avaient peur de venir travailler».
 Et de demander six mois de prison, avec sursis.

Les avocats des jeunes femmes martèlent la douleur, la bonne foi de ces femmes qui sont courageuses. «Le matin elles s'occupent des enfants et du mari pour ensuite aller au travail, avec un salaire modeste, note Me Gaudy, tout ce qu'elles demandent, c'est du respect. C'est la grande question de ce dossier, c'est le respect».

 Mais Pascal Olczac ne bouge pas, derrière la barre il est planté sur une ligne de défense arrêtée avec Me Allirol, son avocat. Le juge entrouvre une porte: «vous comprenez ce qui vous est reproché ?»
 Dénégation du prévenu: «j'ai entendu beaucoup de mensonges. Je suis un professionnel exigeant, j'aime le travail bien fait. Il n'y a pas eu de brimade, c'est complètement faux». La salle gronde. L'avocat ajoute: «je demande la relaxe. Dans ce dossier il n'y a pas de date, pas de lieux pas de témoin et je note que toutes les plaigantes ont été sanctionnées dans leur travail. Les faits sont imprécis, les témoignages suspects, mais il est vrai que le harcèlement moral est tendance, on l'a vu à France Télécom».

Délibéré à l'audience du 4 novembre.

 

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 08:08



Sept cent quatre-vingt-dix mille euros d'amende ont été requis mardi devant le tribunal correctionnel d'Evry, qui jugeait plusieurs filiales et centrales d'achat de la chaîne de grande distribution Intermarché, poursuivies dans neuf dossiers de publicité mensongère et de tromperie sur la marchandise.

 

La publication des jugements, qui doivent être rendus le 26 janvier, dans la presse et sur le site internet de l'enseigne, a également été requise.

Il est reproché à Intermarché d'avoir dans des publicités présenté du thon rouge comme étant pêché en Méditerrannée, alors que le poisson avait été pêché jeune puis engraissé dans des fermes d'aquaculture en Espagne.

 

L'enseigne comparaissait également pour avoir commercialisé en janvier 2007 dans 109 magasins du sud de la France des poivrons importés d'Espagne qui avaient été traités avec un produit insecticide pouvant provoquer des affections stomacales, et qui n'est homologué ni en France ni en Espagne.

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18 septembre 2009 5 18 /09 /septembre /2009 11:08



HARCÈLEMENT, DÉTOURNEMENT DE FONDS... |


Aurélien Amodru, le gérant de l'Intermarché situé route de Furnes, a été mis en examen, hier, par un juge d'instruction de Dunkerque, mais laissé libre sous contrôle judiciaire, contre une caution de 15 000 E. Il est poursuivi pour harcèlement moral et sexuel, abus de confiance, détournement de fonds, faux et usage et faux, mise en vente de produits impropres à la consommation. Son contrôle judiciaire lui interdit de gérer une entreprise, d'entrer en contact avec les salariés de la grande surface ou de se rendre au magasin.


Depuis le début de sa garde à vue, lundi matin, jusqu'à sa présentation devant le juge d'instruction, hier en fin de matinée, Aurélien Amodru a nié la totalité des faits pour lesquels il est poursuivi.

Non, il n'a pas harcelé moralement et sexuellement son personnel. Non, il ne se promenait pas dans l'établissement, un revolver gomme-cogne à la ceinture pour créer un climat de terreur. Non, il n'a pas demandé au personnel, sous la menace, de rédiger de fausses attestations stipulant que tout se passait idéalement dans le magasin, sur le plan des horaires et des rémunérations. Non, il n'a pas utilisé les cartes bancaires de la société pour son enrichissement personnel. Non, il n'aspergeait pas de bombe insecticide, le soir, les fruits et les légumes pour les rendre plus présentables.

 Tout au plus, Aurélien Amodru se définit-il comme « un dirigeant à poigne ».


Pourtant, le parquet de Dunkerque a estimé disposer d'éléments matériels suffisants pour ouvrir une information judiciaire visant ces faits, rallongeant la sauce en retenant un abus de confiance.

Accumulation d'éléments

«  L'enquête préliminaire est partie d'une procédure prud'homale classique de la part d'un salarié. Puis une plainte a été déposée pour faux témoignage lié à du harcèlement moral. Le parquet a décidé d'engager des investigations plus poussées. Au fur et à mesure de l'enquête, des éléments s'accumulaient. Beaucoup d'employés évoquaient les mêmes choses, les problèmes sexuels et les problèmes d'hygiène », précise le procureur de la République de Dunkerque, Philippe Muller, qui admet qu'il reste «  des éléments à affiner, notamment sur l'aspect purement commercial et les détournements de fonds, en fait l'abus de biens sociaux ». l'administration fiscale a été associée au dossier.

De même, si la justice se contente pour le moment de poursuivre pour harcèlement moral et sexuel, certaines plaignantes, elles, vont jusqu'à dénoncer des attouchements. Là encore, l'enquête confiée au juge d'instruction devra confirmer ou infirmer ces faits.

Chape de plomb

La garde à vue d'Aurélien Amodru et de ses proches (1) - son père, sa soeur, son frère, son épouse - a permis de soulever la chape de plomb qui pesait sur le personnel et de faire s'échapper la pression. Devant les services de police, les langues se sont déliées et les témoignages des salariés se sont durcis.

Une première constitution de partie civile défendue par Me Mougel est annoncée dans ce dossier. Il s'agit de la responsable du rayon boulangerie qui avait, début 2008, engagé une procédure aux prud'hommes pour un problème d'heures effectuées non payées.

Elle dénonce aussi un harcèlement moral. Depuis cette affaire, le médecin du travail l'a déclaré en inaptitude physique à poursuivre son métier au sein du supermarché.

Sur les seize plaignants qui se sont manifestés, beaucoup dénoncent des pressions, des humiliations, du chantage à l'emploi. D'autres disent franchement leur peur de se faire coincer au fond d'une remise, pendant la pause, et de subir les avances du patron.

Là encore, en l'état de l'enquête, il faut recevoir ces paroles avec beaucoup de précautions. Le climat délétère qui régnait au sein du supermarché ne serait-il pas de nature à noircir le tableau ?

Chacun reconnaît néanmoins que les relations de travail s'étaient dégradées depuis la reprise de la direction du magasin par Aurélien Amodru, âgé de 25 ans.

Franchisé (2), cet Intermarché pris en main par le père du mis en examen en 1997 - il en est l'administrateur - a toujours fait l'objet d'une gestion familiale.

Personnalité appréciée

Ce qui demeure troublant dans cette enquête, c'est le décalage entre les dires des salariés et la personnalité d'Aurélien Amodru. En dehors de ses fonctions, l'homme est décrit par tous comme quelqu'un de dynamique, généreux et qui a toujours souhaité s'investir dans la vie associative et municipale de Coudekerque-Branche. Il est d'ailleurs trésorier du conseil de quartier du Petit Steendam. •

(1) : Ils ont tous été libérés entre lundi et mardi soir. Rien n'a été retenu contre eux.

(2) : Les magasins Intermarché franchisés ne dépendent plus du groupe et font l'objet d'une gestion autonome. L'image de marque de ces magasins ne peut ainsi être remise en cause.




Source: La voix du Nord

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14 avril 2009 2 14 /04 /avril /2009 07:21

 

 

 

 

 

Le patron du magasin Intermarché de Guise comparaissait mardi devant le tribunal pour harcèlement moral.
Une quinzaine d'anciens employés du supermarché se sont retournés contre lui, lui reprochant brimades, insultes, pressions incessantes.
 
Ces derniers disent avoir vécu l'enfer, lui évoque des méthodes de travail différentes. Délibéré le 12 mai.

Il est resté inflexible pendant les trois heures de procès.
Le Pdg de l'Intermarché a pourtant vu défiler une quinzaine de ses anciens employés à la barre, la plupart en larmes.

La première à venir s'exprimer est l'ancienne chef du rayon fruits et légumes. Elle avait déjà été la première à porter plainte. « J'ai toujours accepté ce qu'il m'a demandé, c'est mon patron c'est normal, dit-elle la voix tremblante. Mais les brimades ce n'est pas acceptable. Tout ce que je faisais était nul. J'étais une bonne à rien. C'était des insultes sans arrêt. Je prenais mon service à 5 heures au lieu de 6 heures, pour ne pas l'entendre. Je voudrais qu'il comprenne le mal qu'il a pu me faire. Aujourd'hui j'ai peur de retravailler de peur de retomber sur quelqu'un comme lui ».

« Je ne licencie pas, je pousse à bout »

Au moins, ça a le mérite d'être clair...


Les témoignages de ses anciennes collègues vont dans le même sens. « Le matin on se demandait si on allait descendre de voiture. On était tout le temps rabaissés. »
Dépressions, démissions, licenciements pour inaptitude, au total 13 employés de longue date quittent l'entreprise dans les mois qui suivent l'arrivée du nouveau patron en janvier 2006. Calmement, il revient sur cette

 

 

période « Le magasin perdait de l'argent, et il fallait des résultats, je ne le cache pas », lâche le chef d'entreprise. Après une période d'observation certains employés ne remplissaient pas leur tâche de travail c'est vrai. Je n'ai pas peur de le dire lorsque j'ai repris le magasin on avait trop de personnel. » Malgré tout, il nie tout harcèlement moral.

Une version que viennent conforter plusieurs témoins, dont des délégués du personnel encore en poste. Curieusement, ils disent n'avoir rien su des conflits à l'intérieur du magasin.

Auraient' ils peur pour leur emplois...
Pourquoi chez la plupart des indépendants (Leclerc, Intermarché et Sustème U, il n'y à pas de syndicat?...


D'autres affirment pourtant avoir surpris des conversations édifiantes. « Je ne licencie pas les gens, je les pousse à bout. », aurait affirmé le prévenu. Son avocat, Me Margules estime que son client « n'est pas un salaud. C'est un chef d'entreprise qui veut travailler et dont le style déplaît. » Pour lui, « ce ne sont pas les larmes qui font les preuves. » Toute la difficulté de prouver le harcèlement moral est là. Les juges auront un mois pour faire la part entre pouvoir disciplinaire et harcèlement.
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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 07:44

 

                                                                                    




Intermarché suit l'exemple d'autres enseignes de la grande distribution en commercialisant sa « carte Mousquetaires », à la fois carte de paiement et carte de fidélité. Elle comporte aussi une possibilité de crédit « revolving », dont les effets en termes de surendettement sont établis.

Avec la « carte Mousquetaires », lancée à grand renfort de communication par Intermarché, on peut retirer de l'argent sur son compte bancaire partout en France et à l'étranger, payer ses courses en caisse, y compris chez Monoprix, cumuler des réductions chez Intermarché et Écomarché, et même s'offrir une machine à laver à crédit sans plus de formalités ! Le tout pour une souscription de 1 euro la première année, 18 euros les années suivantes. En ces temps de pouvoir d'achat en berne, l'offre a de quoi retenir l'attention. À ceci près qu'en dépit des annonces, cette carte ne constitue pas franchement une nouveauté. Ce type de produit existe déjà, notamment chez Carrefour, avec la Carte Pass qui décline grosso modo la même palette d'options. Seule différence notable : la « carte Mousquetaires », « cobrandée », arbore clairement le nom de l'enseigne. Ce dont les consommateurs n'ont que faire.

Pour le reste, rien de bien original, et toujours le même danger : la possibilité pour le détenteur de payer n'importe quel achat à crédit, sur le mode pernicieux du crédit « revolving ». Ce système, mal connu donc mal maîtrisé, est un véritable piège pour le consommateur. En effet, au contraire d'un crédit classique, affecté ou personnel, le crédit revolving est utilisable sans contrôle, n'a pas de durée précise. Mais surtout, il présente des taux d'intérêt élevés, compris entre 14 et 19 % (6 % pour un crédit classique), ce que la plupart des utilisateurs ignorent.

 Au final, coûteux, tentant et dénué de garde-fou, il est un facteur de surendettement, comme l'a établi le Conseil économique et social dans un rapport récent. Raison pour laquelle les consommateurs sont invités à y réfléchir à deux fois avant d'y avoir recours
.

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